Depuis des décennies, deux traitements sont le plus fréquemment proposés par les médecins pour tenter de lutter contre la calvitie :

Le premier et le plus connu est une lotion contenant une molécule anti-hypertensive (dosée en 2 ou 5%) qui s’applique sur le cuir chevelu à l’aide d’un spray.

Le second, est un médicament par voie orale qui agit sur la testostérone (hormone mâle) afin de limiter le processus responsable de la chute de cheveux androgenique.

Dans les deux cas, ces traitements doivent se prendre tous les jours et à vie, mais outre cette contrainte, le miracle tant attendu ne s’est toujours pas confirmé… Si dans certains cas une petite repousse visible est apparue, aucun de ces médicaments n’a pu faire repousser un cheveu là où il n’y avait plus de racine. De plus, l’arrêt de ces divers traitements conduirait à une reprise immédiate de la chute des cheveux.

Depuis leur mise sur le marché il y a une trentaine d’année, le recul nécessaire quant aux effets secondaires a permis de constater qu’une majorité de patients n’avait rien remarqué ou ressenti d’anormal, en revanche certains patients ont pu constater divers troubles notamment au niveau de la sexualité, ce nombre est visiblement croissant d’année en année…

Sur base de ce bilan médicamenteux, la recherche s’est orientée vers le clonage des cellules souches qui permettrait la reproduction de follicules humains en quantité infinie, malheureusement les chercheurs admettent qu’il faudra patienter encore de nombreuses années avant d’obtenir des résultats cliniques concluants.

Entre temps de nouveaux traitements révolutionnaires sans médicaments ont fait leur apparition ayant pour priorité la minimalisation de tout effet secondaire. La bio stimulation LED (ATP 38), donne actuellement des résultats visiblent en agissant au cœur même des cellules en les chargeant d’énergie grâce au photon. Le bulbe est alors stimulé et relance la croissance du cheveu à long terme même dans les cas de calvities très avancées. Ce traitement indolore est notamment de plus en plus pratiqué en médecine préventive ainsi que par les chirurgiens en phase post-opératoire.